7
Alors Jésus1 dit encore : « En vérité, en vérité, je vous dis que moi, je suis la porte des brebis.
1 plusieurs manuscrits ajoutent : leur.
8
Tous ceux qui sont venus [avant moi] sont des voleurs et des bandits. Mais les brebis ne les ont pas écoutés.
9
Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera des pâturages.
Le bon berger
10
« Le voleur ne vient que pour voler et tuer et détruire. Moi, je suis venu afin qu'elles aient la vie et qu'elles l'aient en abondance.
11
Moi, je suis le bon berger. Le bon berger laisse1 sa vie pour les brebis.
1 littéralement : met, dépose.
12
Mais l'homme qui reçoit un salaire et qui n'est pas le berger, à qui les brebis n'appartiennent pas en propre, voit venir le loup et laisse les brebis et s'enfuit. Et le loup s'empare d'elles et les disperse.
13
[Or le salarié s'enfuit] parce qu'il travaille pour un salaire et qu'il ne se préoccupe pas des brebis.
14
Moi, je suis le bon berger et je connais mes brebis1 et mes brebis1 me connaissent,
1 littéralement : les miennes.
15
comme le Père me connaît et [comme] moi, je connais le Père. Et je laisse1 ma vie pour les brebis.
1 littéralement : mets, dépose.
16
Or j'ai d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos ; celles-là aussi, il faut que je les amène. Et elles écouteront ma voix et formeront1 un seul troupeau, un seul berger.
1 plusieurs manuscrits portent : il y aura.
Jésus donne à son Père un motif de l'aimer
17
« À cause de ceci le Père m'aime, c'est que moi, je laisse1 ma vie afin que je la reprenne.
1 littéralement : mets, dépose.
18
Personne ne me l'ôte, mais moi, je la laisse1 de moi-même. J'ai le pouvoir2 de la laisser1 et j'ai le pouvoir2 de la reprendre. J'ai reçu ce commandement de mon Père. »
1 littéralement : mettre, déposer. 2 ou : l'autorité ; la puissance avec le droit de l'exercer.
19
Il y eut encore de la division parmi les Juifs à cause de ces paroles.
20
Et beaucoup d'entre eux disaient : « Il a un démon et il est fou ; pourquoi l'écoutez-vous ? »
21
D'autres disaient : « Ces paroles ne sont pas [celles] d'un démoniaque. Un démon peut-il ouvrir les yeux des aveugles ? »
Nous ne trouvons pas de paraboles dans cet évangile. Celui qui est «la Parole» y parle aux hommes un langage direct. En revanche que de précieuses images et comparaisons le Seigneur emploie pour se faire connaître à nous! Voyez les passages dans lesquels Il déclare: «Moi, je suis…» (ch. 6 v. 35, 48, 51 j 6.35-51; ch. 8 v. 12 j 8.12; ch. 10 v. 7, 9, 11, 14; ch. 11 v. 25 j 11.25-26; ch. 14 v. 6 j 14.6; ch. 15 v. 1, 5 j 15.1-5). «Moi je suis la porte des brebis» dit-Il aux v. 7 et 9. Pour être sauvé, il faut nécessairement entrer par Lui (comp. Éph. 2:18 ep 2.17-22). Mais nous avons aussi besoin d'être conduits. Livrés à nous-mêmes nous ressemblons à la brebis, animal sans intelligence qui s'égare lorsqu'il n'a pas de conducteur (lire És. 53:6 es 53.6-7). En contraste avec les hommes salariés, avec les voleurs et les brigands habiles à dérober les âmes, Jésus se présente donc comme le bon Berger (v. 11 et 14). Et Il en donne deux preuves: La première est le don volontaire de sa vie pour acquérir ses brebis, témoignage suprême de son amour pour elles, et en même temps, ne l'oublions pas, le motif souverain donné à l'amour du Père pour lui (v. 17). — La seconde est la connaissance qu'Il a de ses brebis et, réciproquement, que celles-ci ont de leur Berger (v. 14). Un lien aussi étroit confirme ses droits sur son troupeau et sur chacun de nos cœurs.
Jésus est la porte des brebis
7 Alors Jésus1 dit encore : « En vérité, en vérité, je vous dis que moi, je suis la porte des brebis.
1 plusieurs manuscrits ajoutent : leur.
8 Tous ceux qui sont venus [avant moi] sont des voleurs et des bandits. Mais les brebis ne les ont pas écoutés.
9 Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera des pâturages.
Le bon berger
10 « Le voleur ne vient que pour voler et tuer et détruire. Moi, je suis venu afin qu'elles aient la vie et qu'elles l'aient en abondance.
11 Moi, je suis le bon berger. Le bon berger laisse1 sa vie pour les brebis.
1 littéralement : met, dépose.
12 Mais l'homme qui reçoit un salaire et qui n'est pas le berger, à qui les brebis n'appartiennent pas en propre, voit venir le loup et laisse les brebis et s'enfuit. Et le loup s'empare d'elles et les disperse.
13 [Or le salarié s'enfuit] parce qu'il travaille pour un salaire et qu'il ne se préoccupe pas des brebis.
14 Moi, je suis le bon berger et je connais mes brebis1 et mes brebis1 me connaissent,
1 littéralement : les miennes.
15 comme le Père me connaît et [comme] moi, je connais le Père. Et je laisse1 ma vie pour les brebis.
1 littéralement : mets, dépose.
16 Or j'ai d'autres brebis qui ne sont pas de cet enclos ; celles-là aussi, il faut que je les amène. Et elles écouteront ma voix et formeront1 un seul troupeau, un seul berger.
1 plusieurs manuscrits portent : il y aura.
Jésus donne à son Père un motif de l'aimer
17 « À cause de ceci le Père m'aime, c'est que moi, je laisse1 ma vie afin que je la reprenne.
1 littéralement : mets, dépose.
18 Personne ne me l'ôte, mais moi, je la laisse1 de moi-même. J'ai le pouvoir2 de la laisser1 et j'ai le pouvoir2 de la reprendre. J'ai reçu ce commandement de mon Père. »
1 littéralement : mettre, déposer. 2 ou : l'autorité ; la puissance avec le droit de l'exercer.
19 Il y eut encore de la division parmi les Juifs à cause de ces paroles.
20 Et beaucoup d'entre eux disaient : « Il a un démon et il est fou ; pourquoi l'écoutez-vous ? »
21 D'autres disaient : « Ces paroles ne sont pas [celles] d'un démoniaque. Un démon peut-il ouvrir les yeux des aveugles ? »
Nous ne trouvons pas de paraboles dans cet évangile. Celui qui est «la Parole» y parle aux hommes un langage direct. En revanche que de précieuses images et comparaisons le Seigneur emploie pour se faire connaître à nous! Voyez les passages dans lesquels Il déclare: «Moi, je suis…» (ch. 6 v. 35, 48, 51 j 6.35-51; ch. 8 v. 12 j 8.12; ch. 10 v. 7, 9, 11, 14; ch. 11 v. 25 j 11.25-26; ch. 14 v. 6 j 14.6; ch. 15 v. 1, 5 j 15.1-5). «Moi je suis la porte des brebis» dit-Il aux v. 7 et 9. Pour être sauvé, il faut nécessairement entrer par Lui (comp. Éph. 2:18 ep 2.17-22). Mais nous avons aussi besoin d'être conduits. Livrés à nous-mêmes nous ressemblons à la brebis, animal sans intelligence qui s'égare lorsqu'il n'a pas de conducteur (lire És. 53:6 es 53.6-7). En contraste avec les hommes salariés, avec les voleurs et les brigands habiles à dérober les âmes, Jésus se présente donc comme le bon Berger (v. 11 et 14). Et Il en donne deux preuves: La première est le don volontaire de sa vie pour acquérir ses brebis, témoignage suprême de son amour pour elles, et en même temps, ne l'oublions pas, le motif souverain donné à l'amour du Père pour lui (v. 17). — La seconde est la connaissance qu'Il a de ses brebis et, réciproquement, que celles-ci ont de leur Berger (v. 14). Un lien aussi étroit confirme ses droits sur son troupeau et sur chacun de nos cœurs.