1
Rends-moi justice1, ô Dieu, et prends en main ma cause contre une nation sans piété2 ! Délivre-moi de l'homme trompeur et inique !
1 littéralement : Juge-moi. 2 ailleurs : bonté.
2
Car toi, ô Dieu, tu es ma forteresse1. Pourquoi m'as-tu rejeté ? Pourquoi dois-je marcher dans le deuil à cause de l'oppression de l'ennemi ?
1 littéralement : toi, Dieu de ma forteresse.
3
Envoie ta lumière et ta vérité ! Elles me conduiront, elles m'amèneront à ta montagne sainte et à tes demeures.
4
Alors je viendrai à l'autel de Dieu, au °Dieu de l'allégresse de ma joie. Et je te célébrerai sur la harpe, ô Dieu, mon Dieu !
5
Pourquoi es-tu abattue, mon âme ? Et pourquoi es-tu agitée au-dedans de moi ? Attends-toi à Dieu ! Car je le célébrerai encore ; il est le salut de ma face et mon Dieu.
Ce psaume se lie au précédent comme le souligne la répétition finale des versets 6 et 12 du Psaume 42 ps 42.1-12. Mon âme a souvent besoin d'être ainsi exhortée à ne pas être abattue, à s'attendre à Dieu et à le célébrer encore et toujours. Il n'a pas seulement été mon salut; Il est aussi «mon Dieu», Celui dont je dépends sans cesse, la source de «ma force» (verset 2).
Sa lumière et sa vérité me conduiront à une adoration intelligente si je le lui demande comme le fait ici le psalmiste (versets 3 et 4).
L'expression soulignée hier: «le Dieu de ma vie», se complète au verset 4 d'une autre bien remarquable: le «Dieu de l'allégresse de ma joie». Chers croyants, Dieu suffit-Il à nous rendre heureux? Est-Il la source de notre joie comme Il l'était pour Jésus? (Luc 10:21 lc 10.17-24). Connaissant un tel Dieu, notre âme serait-elle encore abattue ou agitée! «Que votre cœur ne soit pas troublé, disait le Seigneur à ses disciples, vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi» (Jean 14:1 j 14.1-3). Et ailleurs: «Ayez foi en Dieu» (Marc 11:22 mc 11.20-24). La foi, voilà le grand remède à tout ce que ce monde peut nous infliger de tristesse ou d'agitation. Elle est notre ressource aujourd’hui comme elle sera celle du restant juif fidèle au temps de l'affliction.
Psaume 43
Le fidèle s'attend à l'intervention de Dieu
1 Rends-moi justice1, ô Dieu, et prends en main ma cause contre une nation sans piété2 ! Délivre-moi de l'homme trompeur et inique !
1 littéralement : Juge-moi. 2 ailleurs : bonté.
2 Car toi, ô Dieu, tu es ma forteresse1. Pourquoi m'as-tu rejeté ? Pourquoi dois-je marcher dans le deuil à cause de l'oppression de l'ennemi ?
1 littéralement : toi, Dieu de ma forteresse.
3 Envoie ta lumière et ta vérité ! Elles me conduiront, elles m'amèneront à ta montagne sainte et à tes demeures.
4 Alors je viendrai à l'autel de Dieu, au °Dieu de l'allégresse de ma joie. Et je te célébrerai sur la harpe, ô Dieu, mon Dieu !
5 Pourquoi es-tu abattue, mon âme ? Et pourquoi es-tu agitée au-dedans de moi ? Attends-toi à Dieu ! Car je le célébrerai encore ; il est le salut de ma face et mon Dieu.
Ce psaume se lie au précédent comme le souligne la répétition finale des versets 6 et 12 du Psaume 42 ps 42.1-12. Mon âme a souvent besoin d'être ainsi exhortée à ne pas être abattue, à s'attendre à Dieu et à le célébrer encore et toujours. Il n'a pas seulement été mon salut; Il est aussi «mon Dieu», Celui dont je dépends sans cesse, la source de «ma force» (verset 2).
Sa lumière et sa vérité me conduiront à une adoration intelligente si je le lui demande comme le fait ici le psalmiste (versets 3 et 4).
L'expression soulignée hier: «le Dieu de ma vie», se complète au verset 4 d'une autre bien remarquable: le «Dieu de l'allégresse de ma joie». Chers croyants, Dieu suffit-Il à nous rendre heureux? Est-Il la source de notre joie comme Il l'était pour Jésus? (Luc 10:21 lc 10.17-24). Connaissant un tel Dieu, notre âme serait-elle encore abattue ou agitée! «Que votre cœur ne soit pas troublé, disait le Seigneur à ses disciples, vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi» (Jean 14:1 j 14.1-3). Et ailleurs: «Ayez foi en Dieu» (Marc 11:22 mc 11.20-24). La foi, voilà le grand remède à tout ce que ce monde peut nous infliger de tristesse ou d'agitation. Elle est notre ressource aujourd’hui comme elle sera celle du restant juif fidèle au temps de l'affliction.