7
« Quand il y aura au milieu de toi un pauvre, un de tes frères, dans une des portes [de tes villes], dans ton pays que l'Éternel ton Dieu te donne, tu n'endurciras pas ton cœur et tu ne fermeras pas ta main à ton frère pauvre.
8
Mais tu lui ouvriras libéralement ta main et tu lui prêteras volontiers sur gages, assez pour le besoin dans lequel il se trouve.
9
Prends garde à toi, de peur qu'il n'y ait dans ton cœur quelque pensée de Bélial et que tu ne dises : "La septième année approche, l'année de la remise [des dettes]", et que ton œil ne soit mauvais contre ton frère pauvre, et que tu ne lui donnes rien, et qu'il ne crie vers l'Éternel contre toi, et qu'il n'y ait du péché en toi.
10
Tu lui donneras libéralement et ton cœur ne sera pas triste quand tu lui donneras. Car, à cause de cela, l'Éternel ton Dieu te bénira dans toutes tes actions et dans tout ce que ta main entreprendra de faire.
11
Car il ne cessera pas d'y avoir des pauvres au milieu du pays. C'est pourquoi je te donne ce commandement, en disant : "Tu ouvriras libéralement ta main à ton frère, à ton affligé et à ton pauvre, dans ton pays."
Libération des esclaves hébreux la septième année
12
« Si ton frère, un Hébreu, homme ou femme, se vend à toi, alors il te servira six ans et la septième année tu le renverras libre de chez toi.
13
Et quand tu le renverras libre de chez toi, tu ne le renverras pas [les mains] vides.
14
Tu lui donneras1 libéralement de ton petit bétail et de ton aire de battage et de ton pressoir ; tu lui donneras de ce dont l'Éternel ton Dieu t'aura béni.
1 littéralement : Tu lui feras un collier.
15
Et tu te souviendras que tu as été esclave dans le pays d'Égypte et que l'Éternel ton Dieu t'a racheté. C'est pourquoi je te prescris ces choses aujourd'hui.
16
Et s'il arrive qu'il te dise : "Je ne sortirai pas de chez toi" — car il t'aime, [toi] et ta maison, et il se trouve bien chez toi —
17
alors tu prendras le poinçon et tu lui perceras l'oreille contre la porte et il sera ton serviteur pour toujours. Et tu feras de même aussi pour ta servante.
18
Ce ne sera pas à tes yeux chose pénible de le renvoyer libre de chez toi, car il t'a servi six ans, [ce qui te vaut] le double du salaire d'un travailleur journalier. Et l'Éternel ton Dieu te bénira dans tout ce que tu feras.
Consécration à l'Éternel des premiers-nés des animaux
19
« Tu sanctifieras à l'Éternel ton Dieu tout premier-né mâle qui naîtra parmi ton gros bétail ou ton petit bétail. Tu ne travailleras pas avec le premier-né de ton bœuf et tu ne tondras pas le premier-né de ton petit bétail.
20
Tu le mangeras, toi et ta maison, devant l'Éternel ton Dieu, d'année en année, au lieu que l'Éternel aura choisi.
21
Et s'il a un défaut corporel, s'il est boiteux ou aveugle, [s'il a] un mauvais défaut quelconque, tu ne le sacrifieras pas à l'Éternel ton Dieu.
22
Tu le mangeras dans les portes [de tes villes]. Celui qui est impur et celui qui est pur [en mangeront] l'un et l'autre, comme [si c'était] de la gazelle ou du cerf.
23
Seulement, tu ne mangeras pas son sang, tu le verseras sur la terre comme de l'eau.
Donner est une source de joie non seulement pour celui qui reçoit, mais surtout pour celui qui donne (Act. 20:35 ac 20.32-35). Joie que Dieu goûte lui-même le tout premier, lui «le Père des lumières» dont descend tout ce qui nous est donné de bon et tout don parfait! (Jacq. 1:17 jq 1.16-18). Et, afin que les siens partagent cette joie, il place devant eux des occasions de donner. Quelle contradiction si leur cœur est triste en le faisant (v. 10)! N'oublions jamais que «Dieu aime celui qui donne avec joie» (2 Cor. 9:7 2cr 9.6-11).
«Il ne cessera pas d'y avoir des pauvres au milieu du pays» (v. 11). «Vous avez toujours les pauvres avec vous», disait le Seigneur Jésus (Jean 12:8 j 12.1-8). Pour goûter la joie de donner, ne serait-ce qu'une parole de vraie sympathie, l'occasion est donc toujours là. Peut-être est-elle «couchée à notre porte» comme Lazare devant celle du riche (Luc 16:20 lc 16.19-31) mais nous manque-t-il les yeux du cœur pour la voir, le dévouement pour la saisir! «Celui qui a l'œil bienveillant sera béni, car il donne de son pain au pauvre» (Prov. 22:9 pv 22.9). Et l'exemple du serviteur hébreu, figure de Christ, venant à la suite de ces instructions, nous rappelle que tout ce que nous ferons par amour pour un plus pauvre ou un plus petit que nous, c'est pour Jésus que nous le ferons.
7 « Quand il y aura au milieu de toi un pauvre, un de tes frères, dans une des portes [de tes villes], dans ton pays que l'Éternel ton Dieu te donne, tu n'endurciras pas ton cœur et tu ne fermeras pas ta main à ton frère pauvre.
8 Mais tu lui ouvriras libéralement ta main et tu lui prêteras volontiers sur gages, assez pour le besoin dans lequel il se trouve.
9 Prends garde à toi, de peur qu'il n'y ait dans ton cœur quelque pensée de Bélial et que tu ne dises : "La septième année approche, l'année de la remise [des dettes]", et que ton œil ne soit mauvais contre ton frère pauvre, et que tu ne lui donnes rien, et qu'il ne crie vers l'Éternel contre toi, et qu'il n'y ait du péché en toi.
10 Tu lui donneras libéralement et ton cœur ne sera pas triste quand tu lui donneras. Car, à cause de cela, l'Éternel ton Dieu te bénira dans toutes tes actions et dans tout ce que ta main entreprendra de faire.
11 Car il ne cessera pas d'y avoir des pauvres au milieu du pays. C'est pourquoi je te donne ce commandement, en disant : "Tu ouvriras libéralement ta main à ton frère, à ton affligé et à ton pauvre, dans ton pays."
Libération des esclaves hébreux la septième année
12 « Si ton frère, un Hébreu, homme ou femme, se vend à toi, alors il te servira six ans et la septième année tu le renverras libre de chez toi.
13 Et quand tu le renverras libre de chez toi, tu ne le renverras pas [les mains] vides.
14 Tu lui donneras1 libéralement de ton petit bétail et de ton aire de battage et de ton pressoir ; tu lui donneras de ce dont l'Éternel ton Dieu t'aura béni.
1 littéralement : Tu lui feras un collier.
15 Et tu te souviendras que tu as été esclave dans le pays d'Égypte et que l'Éternel ton Dieu t'a racheté. C'est pourquoi je te prescris ces choses aujourd'hui.
16 Et s'il arrive qu'il te dise : "Je ne sortirai pas de chez toi" — car il t'aime, [toi] et ta maison, et il se trouve bien chez toi —
17 alors tu prendras le poinçon et tu lui perceras l'oreille contre la porte et il sera ton serviteur pour toujours. Et tu feras de même aussi pour ta servante.
18 Ce ne sera pas à tes yeux chose pénible de le renvoyer libre de chez toi, car il t'a servi six ans, [ce qui te vaut] le double du salaire d'un travailleur journalier. Et l'Éternel ton Dieu te bénira dans tout ce que tu feras.
Consécration à l'Éternel des premiers-nés des animaux
19 « Tu sanctifieras à l'Éternel ton Dieu tout premier-né mâle qui naîtra parmi ton gros bétail ou ton petit bétail. Tu ne travailleras pas avec le premier-né de ton bœuf et tu ne tondras pas le premier-né de ton petit bétail.
20 Tu le mangeras, toi et ta maison, devant l'Éternel ton Dieu, d'année en année, au lieu que l'Éternel aura choisi.
21 Et s'il a un défaut corporel, s'il est boiteux ou aveugle, [s'il a] un mauvais défaut quelconque, tu ne le sacrifieras pas à l'Éternel ton Dieu.
22 Tu le mangeras dans les portes [de tes villes]. Celui qui est impur et celui qui est pur [en mangeront] l'un et l'autre, comme [si c'était] de la gazelle ou du cerf.
23 Seulement, tu ne mangeras pas son sang, tu le verseras sur la terre comme de l'eau.
Donner est une source de joie non seulement pour celui qui reçoit, mais surtout pour celui qui donne (Act. 20:35 ac 20.32-35). Joie que Dieu goûte lui-même le tout premier, lui «le Père des lumières» dont descend tout ce qui nous est donné de bon et tout don parfait! (Jacq. 1:17 jq 1.16-18). Et, afin que les siens partagent cette joie, il place devant eux des occasions de donner. Quelle contradiction si leur cœur est triste en le faisant (v. 10)! N'oublions jamais que «Dieu aime celui qui donne avec joie» (2 Cor. 9:7 2cr 9.6-11).
«Il ne cessera pas d'y avoir des pauvres au milieu du pays» (v. 11). «Vous avez toujours les pauvres avec vous», disait le Seigneur Jésus (Jean 12:8 j 12.1-8). Pour goûter la joie de donner, ne serait-ce qu'une parole de vraie sympathie, l'occasion est donc toujours là. Peut-être est-elle «couchée à notre porte» comme Lazare devant celle du riche (Luc 16:20 lc 16.19-31) mais nous manque-t-il les yeux du cœur pour la voir, le dévouement pour la saisir! «Celui qui a l'œil bienveillant sera béni, car il donne de son pain au pauvre» (Prov. 22:9 pv 22.9). Et l'exemple du serviteur hébreu, figure de Christ, venant à la suite de ces instructions, nous rappelle que tout ce que nous ferons par amour pour un plus pauvre ou un plus petit que nous, c'est pour Jésus que nous le ferons.