v. 1. Sixième Malheur. — Ce Malheur est sur l’Assyrien qui détruit sans avoir jamais été détruit. Quand les voies de Dieu envers Israël auront été accomplies par son moyen, alors lui-même sera détruit.
v. 2. Supplication du Résidu en vue d’Assur avant que le jugement soit exécuté. «Sois leur bras»: celui des nobles de Juda qui combattent pour le peuple. «Et notre salut»: celui de l’ensemble du Résidu.
v. 3, 4. Réponse au v. 2. Il s’agit ici de la défaite de toutes les nations rassemblées autour de Jérusalem, et particulièrement de l’Assyrien: «on se précipitera sur lui».
v. 5, 6. Ce qui suivra la victoire: Que de choses l’Éternel est pour les siens. De leur côté une seule chose constituera leur trésor: la crainte de l’Éternel.
v. 7-13. Après l’Assyrien (v. 1), les nations rassemblées (v. 3), nous trouvons la Bête romaine qui rompt l’alliance (cf. Daniel 9:27), peut-être associée à l’Antichrist qui «n’a égard à personne» (v. 8, cf. Daniel 11:37). Puis (v. 7, 8) viennent les résultats de la rupture de l’alliance pour le pays d’Israël: c’est alors que par trois fois est prononcé le «Maintenant» divin, au moment même où tout semblait perdu (v. 10); l’Éternel a attendu jusque-là, le temps est venu d’intervenir, et Dieu fait connaître sa puissance dans le jugement de ses ennemis (v. 10-13).
v. 14-19. C’est ici Jérusalem au temps du second siège (cf. Zacharie 14:1-5). On y trouve les impies et les justes. Les uns sont consumés, alors que le Résidu sera épargné et «demeurera en haut». Bien plus, il verra le roi dans sa beauté, tout près de lui et il ne verra plus le dernier ennemi, l’Assyrien. Toutes les ressources de l’homme seront trouvées sans valeur; l’adversaire aura disparu, le Christ restera. Ce sera l’inauguration de son règne (cf. 10:24-28).
v. 20-24. Le Résidu fait appel à Dieu pour qu’il regarde Sion, la cité des assemblées solennelles. Ses yeux verront la paix de Jérusalem, son établissement certain comme tabernacle de Dieu car Christ juge, législateur et roi, sauvera son peuple. Les cordages de l’Assyrien sont relâchés, son vaisseau incapable désormais de voguer, l’ennemi est vaincu et l’iniquité du peuple qui demeure à Jérusalem est pardonnée.
Chapitre 33
v. 1. Sixième Malheur. — Ce Malheur est sur l’Assyrien qui détruit sans avoir jamais été détruit. Quand les voies de Dieu envers Israël auront été accomplies par son moyen, alors lui-même sera détruit.
v. 2. Supplication du Résidu en vue d’Assur avant que le jugement soit exécuté. «Sois leur bras»: celui des nobles de Juda qui combattent pour le peuple. «Et notre salut»: celui de l’ensemble du Résidu.
v. 3, 4. Réponse au v. 2. Il s’agit ici de la défaite de toutes les nations rassemblées autour de Jérusalem, et particulièrement de l’Assyrien: «on se précipitera sur lui».
v. 5, 6. Ce qui suivra la victoire: Que de choses l’Éternel est pour les siens. De leur côté une seule chose constituera leur trésor: la crainte de l’Éternel.
v. 7-13. Après l’Assyrien (v. 1), les nations rassemblées (v. 3), nous trouvons la Bête romaine qui rompt l’alliance (cf. Daniel 9:27), peut-être associée à l’Antichrist qui «n’a égard à personne» (v. 8, cf. Daniel 11:37). Puis (v. 7, 8) viennent les résultats de la rupture de l’alliance pour le pays d’Israël: c’est alors que par trois fois est prononcé le «Maintenant» divin, au moment même où tout semblait perdu (v. 10); l’Éternel a attendu jusque-là, le temps est venu d’intervenir, et Dieu fait connaître sa puissance dans le jugement de ses ennemis (v. 10-13).
v. 14-19. C’est ici Jérusalem au temps du second siège (cf. Zacharie 14:1-5). On y trouve les impies et les justes. Les uns sont consumés, alors que le Résidu sera épargné et «demeurera en haut». Bien plus, il verra le roi dans sa beauté, tout près de lui et il ne verra plus le dernier ennemi, l’Assyrien. Toutes les ressources de l’homme seront trouvées sans valeur; l’adversaire aura disparu, le Christ restera. Ce sera l’inauguration de son règne (cf. 10:24-28).
v. 20-24. Le Résidu fait appel à Dieu pour qu’il regarde Sion, la cité des assemblées solennelles. Ses yeux verront la paix de Jérusalem, son établissement certain comme tabernacle de Dieu car Christ juge, législateur et roi, sauvera son peuple. Les cordages de l’Assyrien sont relâchés, son vaisseau incapable désormais de voguer, l’ennemi est vaincu et l’iniquité du peuple qui demeure à Jérusalem est pardonnée.