La vie de David et ses leçons pour nous (suite)

F. Wallace

2. L'armée de David (1 Chroniques 12)

Un centre de rassemblement

David, l'homme selon le cœur de Dieu, avait été oint roi sur Israël par le prophète Samuel. Mais le moment de s'asseoir sur le trône n'était pas venu, aussi longtemps que Saül, le roi que Dieu avait rejeté à cause de sa désobéissance, l'occupait encore. Pour échapper à la jalousie et à l'inimitié farouche de Saül, David avait dû s'enfuir, et s'était réfugié dans un lieu fort, au désert.

C'est à ce moment-là que plusieurs commencent à se grouper autour de lui. David, le jeune homme si attachant, le vainqueur de Goliath et des Philistins, devient le centre de rassemblement d'une armée. Nous voyons des hommes qui se détachent de leurs tribus pour se joindre à David et l'aider (1 Chroniques 12:8, 16, 21).

Tout cela nous enseigne une leçon solennelle et importante. Jésus, l'oint de Dieu, n'occupe pas actuellement un trône royal sur cette terre (Psaumes 2:6; Luc 1:32, 33; Jean 19:19). Ses droits légitimes lui sont refusés; ils sont usurpés par des hommes désobéissants et rebelles, conduits par Satan. Le Seigneur Jésus a été rejeté par ce monde, et il l'est encore. Cependant, il est le centre de rassemblement de tous ceux qui l'aiment et sont prêts à maintenir ses droits dans leur vie, quelle que soit l'opposition qui peut s'élever contre lui et contre eux. Ils acceptent de cœur d'avoir aujourd'hui communion avec lui dans ses souffrances, et, comme de bons soldats de Jésus Christ, ils attendent patiemment le jour de sa manifestation glorieuse. Alors, ils partageront sa gloire.

Séparés et engagés

De la tribu de Gad, «des hommes forts et vaillants,… exercés pour la guerre», se détachent «pour se joindre à lui» (1 Chroniques 12:8). De leur côté, des fils de Benjamin et de Juda se consacrent volontairement à lui: «Nous sommes à toi, David, et avec toi, fils d'Isaï! Paix, paix à toi, et paix à ceux qui t'aident, car ton Dieu t'aide!» (verset 18). La consécration à David impliquait la séparation de Saül et de ses intérêts, et la mise à part pour David et pour ses intérêts. C'était une décision vraiment sérieuse. En se consacrant à David, ils reconnaissaient son entière autorité sur eux pour les diriger.

Les soldats qui n'ont pas d'autres intérêts que ceux de leur chef, et qui obéissent fidèlement à ses ordres, constituent une bonne armée, dont la valeur apparaît au moment du combat. Ce principe s'applique entièrement à ceux qui suivent le Seigneur Jésus. Dans les premiers jours de l'Église, quand les croyants étaient baptisés, ils disaient pratiquement: nous, qui sommes Juifs, nous en avons définitivement fini avec tout ce qui a rapport avec le culte juif. Ou bien: nous, qui sommes Gentils, nous coupons tout lien avec le paganisme et l'idolâtrie. Ils disaient tous, en fait: nous sommes baptisés pour Christ et nous voulons vivre uniquement pour lui et pour ses intérêts. Il devrait en être ainsi encore aujourd'hui. «Prends ta part des souffrances comme un bon soldat de Jésus Christ. Nul homme qui va à la guerre ne s'embarrasse dans les affaires de la vie, afin qu'il plaise à celui qui l'a enrôlé pour la guerre» (2 Timothée 2:3, 4).

En ce qui nous concerne, combien d'intérêts prennent la place de ceux du Seigneur? Réalisons-nous que la séparation pour Christ est un privilège et un honneur? Ce devrait être notre but à tous. «Si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seigneur et que tu croies dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité d'entre les morts, tu seras sauvé» (Romains 10:9). Confesser Jésus comme «Seigneur» signifie reconnaître que lui seul a l'autorité sur nous, et qu'il n'y a aucun autre «seigneur» dans nos vies. Y a-t-il d'autres intérêts que nous voulons préserver au détriment de la fidélité à Christ?

Ayons à cœur d'être de vrais soldats de Jésus Christ, résolument séparés et fidèles. Cela impliquera que nous mettions à sa disposition notre temps et nos forces; cela entraînera des épreuves et des luttes; mais avons-nous le désir de l'entendre nous dire un jour: «Bien, bon et fidèle esclave»?

Pourquoi se battre pour David?

Dans l'histoire de ce monde, les nations ont mené des guerres pour toutes sortes de raisons: parfois pour étendre leur pouvoir ou leur territoire, parfois pour mettre fin à des tyrannies ou pour s'opposer à des agressions. Mais l'armée de David avait un but tout à la fois juste et simple: faire de David le roi incontesté d'Israël.

Dieu, dans ses décrets souverains, avait rejeté Saül de sa position royale, et avait choisi un autre homme, meilleur que lui: pour être roi à sa place (1 Samuel 15:23, 28). L'armée de David agissait en accord avec la volonté divine et en vue de sa réalisation.

Saül, l'homme désobéissant, est une image de la chair. David, l'homme selon le cœur de Dieu, est un type de Christ. La chair est incapable de plaire à Dieu (Romains 8:7, 8). Christ fait les délices du cœur de Dieu; il est son bien-aimé (Matthieu 3:17; 12:18). Si les soldats de David se sont engagés pour «lui transférer le royaume de Saül, selon le commandement de l'Éternel» (1 Chroniques 12:23), les chrétiens devraient agir, eux aussi, en accord avec la volonté de Dieu concernant Christ. La suprématie universelle de Christ sur la terre est une chose future. Mais son autorité sur les siens doit être une chose actuelle.

«Notre vieil homme» — incapable de plaire à Dieu — «a été crucifié avec Christ» (Romains 6:6). Lorsque Dieu a envoyé son propre Fils pour s'offrir en sacrifice, il a «condamné le péché dans la chair» (Romains 8:3). Par la mort de son Fils bien-aimé, il a entièrement mis de côté le vieil homme et toutes ses œuvres. En raison de la mort, de la résurrection et de l'élévation de Christ dans la gloire, en raison aussi de la venue du Saint Esprit, le chrétien n'est plus — aux yeux de Dieu — sous la domination du péché et de la vieille nature. Il est «dans le Christ Jésus», dans une position nouvelle; il n'est plus «dans la chair» (versets 1, 9). Il a une nouvelle puissance, l'Esprit de vie dans le Christ Jésus. Il a une nouvelle manière d'agir, et les justes exigences de la loi sont accomplies en lui s'il marche selon l'Esprit (verset 4).

Mais les soldats sont engagés dans un conflit; et Galates 5:16-26 nous indique dans quel genre de combat un croyant est impliqué: «La chair convoite contre l'Esprit, et l'Esprit contre la chair (verset 17). Qu'est-ce qui est vu dans nos vies? Christ, l'homme selon Dieu, ou l'homme selon la chair, sur lequel Dieu a prononcé la condamnation dans la mort de Christ? Paul pouvait dire en vérité: «Je suis crucifié avec Christ» et «Christ vit en moi» (Galates 2:20).

Revenons à notre chapitre 12 des Chroniques. Le verset 38 montre l'élan de cœur de ceux qui rejoignent l'armée de David. «Tous ceux-là, hommes de guerre, gardant leurs rangs en ordre de bataille, vinrent à Hébron d'un cœur droit, pour établir David roi sur tout Israël; et aussi tout le reste d'Israël était d'un seul cœur pour établir David roi.» Ces soldats avaient un cœur droit (ils n'avaient pas d'autre objet) et ils étaient d'un seul cœur (ils avaient un seul désir et un seul motif) pour établir David roi sur tout Israël. L'affection non partagée que ces soldats portaient à David contribuait au moral de cette armée. Quelle leçon pour ceux qui croient au Seigneur Jésus! Si la place de Christ comme Chef avait été reconnue et gardée dans les cœurs de ceux qui constituent son corps, les humiliantes divisions et les malheurs qui ont atteint l'Église ne seraient jamais arrivés.

L'équipement de l'armée

Une armée sans l'équipement nécessaire pour la guerre est destinée à la défaite. Les soldats de David étaient bien équipés. Ils avaient des boucliers, des piques, et tous les instruments nécessaires (1 Chroniques 12:2, 8, 33). En outre, ils étaient «exercés pour la guerre» et étaient prêts à utiliser leurs armes pour établir et maintenir l'autorité de David sur Israël.

Les chrétiens ont-ils besoin d'armes de combat? Oui, s'ils veulent être de bons soldats de Jésus Christ. «L'armure complète de Dieu» est à la disposition de tous les croyants (Éphésiens 6:13-18). L'armure est nécessaire, vitale même, parce que nous avons affaire aux forces invisibles des puissances sataniques. Sans l'armure complète de Dieu, les croyants sont vaincus par la puissance et par les ruses de Satan. Chaque pièce de l'armure doit être revêtue. Si nous en laissons de côté une pièce, nous nous exposons à être atteints par «les dards enflammés du méchant».

Les «forteresses» de l'ennemi sont imposantes, mais les armes du chrétien, rendues «puissantes par Dieu», peuvent les détruire (2 Corinthiens 10:3-5). Aucun chrétien ne doit s'effrayer devant les ennemis de la foi, si forts qu'ils paraissent. «Rejetons donc les œuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière» (Romains 13:12). «Soyons sobres, revêtant la cuirasse de la foi et de l'amour, et, pour casque, l'espérance du salut» (1Thessaloniciens 5:8). Remercions Dieu pour l'équipement sûr et complet qui est à notre disposition pour «le bon combat» (1 Timothée 1:18).

Mais si nous laissons nos armes se rouiller, si nous ne les utilisons pas, nous subirons bien des défaites. Satan multiplie ses attaques contre la vérité chrétienne. L'honneur de Christ est en jeu. Les croyants qui ont leurs reins correctement «ceints de la vérité», et qui marchent dans la puissance du Saint Esprit, doivent être prêts à la défense et à l'attaque, selon les directions de leur Commandant.

Souvenons-nous de la triste période de l'histoire d'Israël durant laquelle on ne trouvait aucune arme dans le pays (1 Samuel 13:19-22). Il n'y avait même plus de forgerons! Les Israélites dépendaient des Philistins, leurs oppresseurs, pour faire aiguiser ou réparer leurs outils agricoles. Ils étaient alors leurs esclaves. Prenons garde de ne pas tomber dans une situation semblable!

Une jeune recrue

Parmi ceux qui sont venus vers David, l'Écriture mentionne Tsadok, un «jeune homme fort et vaillant» (1 Chroniques 12:28). Ce jeune homme de la tribu de Lévi avait reconnu en David le roi que Dieu avait choisi et il était prêt à se dévouer entièrement à sa cause. Nous avons toutes les raisons de penser que c'est le Tsadok qui a été établi sacrificateur sous le règne de David et Salomon (1 Chroniques 29:22; 15:11; etc.) Il met sa jeunesse au service de David, et il continue à le servir lorsqu'il est parvenu à l'âge mûr. En particulier, il lui reste fidèle lors de la révolte d'Adonija (1 Rois 1:1-8). Tsadok a l'honneur d'oindre Salomon comme roi sur Israël, au moment où David renonce au trône (1 Rois 1:32-39).

Lorsqu'il avait prononcé son jugement contre les fils d'Eli, le sacrificateur, Dieu avait annoncé: «Je me susciterai un sacrificateur fidèle: il fera selon ce qui est dans mon cœur et dans mon âme,… et il marchera toujours devant mon oint» (1 Samuel 2:35). Cette promesse s'est réalisée en Tsadok. C'était un descendant de Phinées, le grand sacrificateur qui, dans une situation critique, n'avait pas hésité à se servir d'une arme (Nombres 25:6-18). En récompense de sa fidélité, Dieu avait donné à Phinées «une alliance de paix;… une alliance de sacrificature perpétuelle, pour lui et pour sa semence après lui». Et en effet, la descendance de Tsadok aura la charge de la sacrificature durant le Millénium, sous le règne de Christ (Ézéchiel 40:46; 44:15; 48:11). Phinées et Tsadok illustrent le principe divin: «Ceux qui m'honorent, je les honorerai» (1 Samuel 2:30).

Le combat pourrait paraître une occupation étrange pour un sacrificateur. Cependant écoutons ce que dit le psaume 149: «Les louanges de Dieu sont dans leur bouche, et une épée à deux tranchants dans leur main» (verset 6). Dans son sens littéral, ce psaume n'est évidemment pas pour le temps de l'Église, mais nous pouvons en tirer l'enseignement que si nous ne nous engageons jamais dans le combat pour la gloire de Christ, nous ne saurons jamais ce que signifie réellement la louange.

Il y a de la place pour de jeunes soldats dans le combat chrétien. Leur fidèle obéissance au Seigneur conduira à leur croissance spirituelle et à une augmentation de leurs responsabilités au service du Maître. Jeunes gens, restez près de croyants spirituels et laissez-vous enseigner par leur exemple. Josué s'est tenu près de Moïse, Élisée près d'Elie. Timothée avait Paul comme père spirituel, et servait le Seigneur avec lui.

Des Benjaminites viennent vers David

Il a sans doute été très pénible pour Saül que son fils Jonathan soit devenu un admirateur et un ami de David. Dans le chapitre 12 de 1 Chroniques, on voit de nombreux Benjaminites — la tribu de Saül — venir résolument vers David (versets 2, 16, 29). Certains l'ont fait alors que Saül détenait encore le pouvoir. Cela impliquait pour eux une rupture des liens naturels qui les attachaient à leur tribu, et des dangers, mais l'attrait que David exerçait sur eux et la connaissance qu'ils avaient du propos de Dieu les rendaient capables de faire ce choix.

Les liens naturels sont très forts, et ils sont parfaitement légitimes à leur place. Mais lorsqu'ils interviennent dans les choses de Dieu, ils sont la source de beaucoup de maux. L'Écriture nous donne bien des exemples dans lesquels les liens familiaux sont une entrave à l'obéissance à Dieu, ou à un discernement clair de sa volonté. Que l'on pense à Abraham et Ismaël (Genèse 17:18, 19), à Eli et ses fils (1 Samuel 3:13), à David et Absalom (2 Samuel 19:1-6), ou à Barnabas et son neveu (Actes des Apôtres 15:36-41)! Ne sous-estimons pas la force de ces liens lorsque des personnes que nous aimons sont impliquées dans des difficultés d'ordre spirituel. Souvenons-nous que les droits de Christ doivent avoir la priorité sur tous les autres. «Celui qui aime père ou mère plus que moi, n'est pas digne de moi; et celui qui aime fils ou fille plus que moi, n'est pas digne de moi» (Matthieu 10:37). Cela ne signifie pas que nous devions ignorer les relations terrestres. Au contraire, l'Écriture souligne les responsabilités des maris et des femmes, des parents et des enfants, et, sous forme imagée, des employeurs et des employés. Mais ces relations doivent servir et soutenir le témoignage chrétien, et non l'entraver. Jésus était obéissant à ses parents, mais son obéissance première était à Dieu (cf. Luc 2:49-51).

Des soldats intelligents

Parmi ceux qui ont rejoint David, on remarque «des fils d'Issacar, qui savaient discerner les temps pour savoir ce que devait faire Israël» (1 Chroniques 12:32).

On ne saurait estimer trop haut une compréhension juste des pensées de Dieu. Les chrétiens doivent savoir quels sont les intérêts de Christ. L'épître aux Colossiens nous enseigne que «pour marcher d'une manière digne du Seigneur pour lui plaire à tous égards», nous avons besoin de sagesse et d'intelligence spirituelle (Colossiens 1:9, 10). C'est cette forme d'intelligence que nous devrions rechercher avant tout. Paul priait pour que les croyants soient «remplis de la connaissance de la volonté de Dieu». Salomon, dans son jeune âge, avait demandé «du discernement afin de comprendre le juste jugement» (1 Rois 3:11). Dieu a approuvé sa requête et l'a exaucée.

Les Écritures sont la source inépuisable du discernement spirituel. Lisons-les. Demandons au Seigneur qu'il ouvre nos intelligences pour que nous les comprenions (cf. Luc 24:27, 45). Et utilisons les moyens qu'il nous donne pour nous aider à les comprendre.

«Ne soyez pas sans intelligence, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur» (Éphésiens 5:17). De bons soldats de Jésus Christ doivent connaître la volonté de leur Maître; et quand ils la connaissent, il faut qu'ils l'accomplissent.

Une armée en ordre

Les hommes de la tribu de Zabulon «allaient à l'armée, préparés pour le combat, avec toutes les armes de guerre,… gardant leur rang: n'ayant point un cœur double» (1 Chroniques 12:33). Et ceux d'Aser «allaient à l'armée pour se mettre en ordre de bataille pour le combat» (verset 36). Et plus loin, on lit: «Tous ceux-là, hommes de guerre, gardant leurs rangs en ordre de bataille: vinrent à Hébron d'un cœur droit» (verset 38).

Combien tout serait différent dans le témoignage chrétien aujourd'hui si ceux qui suivent le Seigneur Jésus présentaient un front uni pour faire face aux nombreux ennemis de la foi chrétienne! L'indépendance, la propre volonté, les querelles, les divisions dans les maisons et dans les assemblées — tout cela s'est combiné pour amener le triste spectacle d'une armée qui n'a aucune discipline. La honte de cet état devrait nous faire pleurer.

L'Écriture nous parle de soldats qui marchent ensemble. Toutes les fois que nous pouvons marcher côte à côte avec ceux qui aiment Christ et sa vérité, dans un juste combat contre les ennemis de la vérité, faisons-le. Dieu aime l'ordre (1 Corinthiens 14:33). Satan est l'auteur du désordre. L'obéissance à la parole de Dieu produira toujours un ordre selon Dieu. Lorsqu'il pensait aux Colossiens, l'apôtre pouvait se réjouir en voyant leur ordre, et la fermeté de leur foi en Christ (2:5).

La nourriture pour l'armée de David

Quel beau tableau nous présentent les derniers versets de ce chapitre 12 de 1 Chroniques! Tous les hommes de guerre étaient là, avec David. Il y avait de la nourriture en abondance — gros et menu bétail, gâteaux, vin, huile, farine — «car leurs frères leur avaient tout préparé» (verset 39). «Il y avait de la joie en Israël» (verset 40). «Et aussi tout le reste d'Israël était d'un seul cœur pour établir David roi» (verset 38). David est le centre de cette armée fidèle et dévouée.

Ceci peut être réalisé en quelque mesure aujourd'hui parmi les croyants. Lorsque le Seigneur Jésus est le centre incontesté de son peuple, il y a une ample provision de nourriture spirituelle, adaptée aux besoins de tous ceux qui combattent pour lui.

«Conduisez-vous d'une manière digne de l'évangile du Christ, afin que… j'apprenne à votre sujet que vous tenez ferme dans un seul et même esprit, combattant ensemble d'une même âme, avec la foi de l'évangile» (Philippiens 1:27).

«Combats le bon combat de la foi» (1 Timothée 6:12).

À suivre